AVEC Cédric Varain (28 ans en juillet) et Jérémy Cys (30 ans), la marche de grand fond semble avoir de beaux jours devant elle au sein de l’Athlétic-Club de Château-Thierry. Le premier nommé prend part cette année à son premier Paris-Colmar tandis que son camarade de club fourbit ses armes sur le « promo » ouvert aux néophytes, avant de s’attaquer à la course des As, l’an prochain. Continue reading
Le 8 mai 1945 est la date de la victoire des Alliés sur l’Allemagne nazie et la fin de la Seconde Guerre mondiale. C’est pour cette raison que les 50 km de la voie de la liberté sont organisés. Les Américains avaient emprunté cette voie pour libérer la France, dans le sens Sainte Menehould – Verdun (nous l’avons fait dans le sens inverse).
C’est sous une chaleur intense que nous avons pris le départ des 50 km de Verdun – Sainte Menehould.
C’est une épreuve très particulière puisque nos ravitailleurs doivent nous suivre et s’arrêter plusieurs fois durant le parcours. Mon équipe s’arrêtait tous les 1,5 km pour me donner à boire, car le soleil nous déshydratait très rapidement. Continue reading
C’est seulement deux semaines après l’épreuve de Château-Thierry, que nous nous sommes rendu, mon équipe et moi à Bar-le-Duc. Ce jour-là se déroulait le Championnat de France de grand fond.
Je n’avais pas réellement d’objectif puisque je savais très bien que je n’étais pas encore tout à fait rétabli de mes 24 heures de Château.
J’ai cependant pris le départ des 24 heures. Les accompagnateurs pédestres et à vélo n’ont été autorisé qu’à partir de 20 heures.
Les deux premières heures ont été pour moi assez difficiles puisque j’ai eu de grosses douleurs dans les jambes. Une fois mes douleurs parties, j’allais très bien. Mais mes blessures de Château Thierry Continue reading
C’est avec beaucoup d’impatience, que j’attendais les 24 heures de marche de Château Thierry qui se sont déroulées les 29 et 30 mars 2008.
Durant cette épreuve, je voulais prouver à tout le monde que j’étais capable de renouveler une nouvelle performance, comme à Vallorbe.
Quelques heures après le départ, j’ai atteint et maintenu une vitesse de « croisière » qui m’a permis de terminer ma course, sans rien lâcher, malgré une douleur aux pieds le dimanche matin et l’apparition de quelques ampoules. En vue du Paris – Colmar, j’ai réussi à me surpasser pour finir à la cinquième place. J’ai ainsi parcouru 188,8 km en 23 h 58 min 42 s avec une moyenne de 7,874 km/h, j’ai dépassé l’objectif que je m’étais fixé à 180 – 185 km. Continue reading